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Fonds Hélène & Édouard Leclerc : l’art d’être curieux

Publié le , par Sarah Hugounenq

Avec un parti pris original, le fonds Hélène & Édouard Leclerc de Landerneau revisite le thème des cabinets de curiosités. Et interroge notre époque.

Domenico Remps (1620-1699), Scarabattolo, 1690, huile sur toile, 99,5 x 137 cm. Avec... Fonds Hélène & Édouard Leclerc : l’art d’être curieux
Domenico Remps (1620-1699), Scarabattolo, 1690, huile sur toile, 99,5 137 cm. Avec l’autorisation du ministère italien des Biens et Activités culturelles - Museo dell’Opificio delle Pietre Dure, Florence.
L’entrée est assez déroutante  : vaste, ornée d’une seule et unique peinture, et sans texte introductif. Les salles se succèdent ensuite comme autant d’ambiances hétéroclites, tels des stands de foire. Dans cette déambulation libre, s’enchaînent l’atmosphère précieuse des pièces d’orfèvrerie de la galerie Kugel, l’étrangeté dérangeante des spécimens de la faculté de médecine de Montpellier, les collectes iconoclastes, improbables, mi-réelles mi-inventées de Théo Mercier, la beauté bigarrée de la faune et de la flore du Muséum…
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