; il les décrit également dans son Journal, notamment lors de son séjour au Maroc, en 1832, où il est frappé par les «fleurs sans nombre de milles espèces formant les tapis les plus diaprés». Il multiplie les études pour ses tableaux de fleurs exposés au Salon de 1849. Cette Feuille d’étude avec des anémones, crayon noir et rehauts d’aquarelle (21,5 x 31,5 cm) est présentée par Audap & Associés, avec l’assistance du Cabinet de Bayser, lors de la vacation du mercredi 5, salle 2 à Drouot. Son estimation ? 30 000/40 000 €.