Après quatre années d’une belle croissance, Fine Arts Paris a fait face comme les autres foires à la crise du Covid, en faisant le choix d’un événement en ligne. Bilan
Selon les organisateurs, le résultat est honorable : 12 000 connexions sur la dizaine de jours qu’a duré le «salon», des «innovations» intéressantes comme les vidéos, et un certain nombre de ventes pour quelques marchands. Ainsi, Arnaud Charvet a cédé cinq pièces – dont une huile sur toile de Charles-Désiré-Claude Maillot – et Paul Prouté, pour sa part, deux toiles de Jean-Baptiste Sécheret. Tous deux ont réussi à vendre plus de la moitié des pièces proposées sur la plateforme – chaque exposant pouvant en présenter jusqu’à dix. Le «vernissage», le 24…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.