Lorsque l’on évoque l’école de Pont-Aven, viennent à l’esprit les noms de Paul Gauguin, d’Émile Bernard ou de Paul Sérusier. Rarement celui de Charles Filiger (1863-1928), auteur de deux cent cinquante gouaches sur papier, nées dans la solitude et la misère. Accompagnée…
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