Gazette Drouot logo print

Faux maîtres anciens : la traversée des Alpes

Publié le , par Vincent Noce
Mardi 29 octobre à Bologne, un artiste local se glisse dans une salle de la cour d’appel. Les débats sont presque inaudibles ; des morceaux de papier déchirés s’efforcent de couvrir les fenêtres ; des fils électriques pendent aux murs. Dans quatre mois, lui annonce la juge, il sera fixé sur son sort pour les années à venir....
  Faux maîtres anciens : la traversée des Alpes

 
Mardi 29 octobre à Bologne, un artiste local se glisse dans une salle de la cour d’appel. Les débats sont presque inaudibles  ; des morceaux de papier déchirés s’efforcent de couvrir les fenêtres  ; des fils électriques pendent aux murs. Dans quatre mois, lui annonce la juge, il sera fixé sur son sort pour les années à venir. Lino Frongia, 61  ans, saura alors s’il est mis aux arrêts pour être transféré à Paris, afin de répondre de son implication dans l’un des plus gros scandales ayant jamais secoué le monde de l’art. La même procédure, examinée en parallèle par la cour de Milan, a été lancée par la juge Aude Buresi…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous