Dans une ambiance chaleureuse et décomplexée, la 38e édition d’Eurantica a fermé ses portes à Bruxelles le 31 mars. Une foire qui a cultivé l’éclectisme et tenu ses promesses avec un marché dynamique, surtout en début de salon.
Il n’est pas question à Eurantica Brussels de chercher à rivaliser avec la Tefaf de Maastricht ou la Brafa de la capitale belge. Lors de sa 38 e édition, la foire a conservé ce qui fait sa singularité et qui lui vaut son succès : une marchandise très variée, et à tous les prix. «Nous ne voulons pas d’un salon élitiste, l’objectif est que nos visiteurs, qu’ils soient de grands collectionneurs ou de simples amateurs de beaux objets, puissent se faire plaisir. Ici, on peut repartir avec une gravure à moins de 100 €, ou un tableau de maître à plusieurs dizaines de milliers d’euros», explique l’organisateur Luc Darte, également à la tête de la foire Antica Namur. Nombre de marchands participent d’ailleurs aux deux salons. Eurantica a réuni cette année une centaine de galeries (soit 20 % de plus qu’en…
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