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Entre sacré et profane, Foujita crée une icône

Publié le , par Sophie Reyssat
Vente le 15 août 2022 - 14:30 (CEST) - 73, boulevard de La Croisette - 06400 Cannes

Léonard Tsuguharu Foujita a trouvé sa voie d’avant-garde à la croisée de la tradition des estampes japonaises et des modèles de la Renaissance italienne. Portrait.

Léonard Tsuguharu Foujita (1886-1968), Jeune femme au voile, vers 1950, gouache,... Entre sacré et profane, Foujita crée une icône
Léonard Tsuguharu Foujita (1886-1968), Jeune femme au voile, vers 1950, gouache, aquarelle et encre de Chine sur papier recouvert de feuilles d’or, signé, 23 17,5 cm.
Estimation : 50 000/80 000 
Adjugé : 133 000 
© Fondation Foujita/ADAGP, Paris, 2022
Q uand on voit cette composition de loin, elle donne l’impression d’être une huile sur toile très précieuse », indique Sylvie Buisson, la spécialiste de Léonard Tsuguharu Foujita . Il s’agit pourtant d’une œuvre sur papier, réalisée avec une grande précision, dans l’esprit des Primitifs italiens du XVI e   siècle. Dès son arrivée à Paris, en 1913, l’artiste a trouvé son inspiration…
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