C’est l’une des nombreuses compositions orientalisantes ramenées par Théo Van Rysselberghe (1862-1926) de son séjour au Maroc. Daté de 1882-1883, soit du second voyage du peintre, ce Cavalier arabe à Tanger témoigne de ses recherches sur la lumière, un travail qui préfigure les années pointillistes à venir. Les amateurs de cette période méditerranéenne sont attendus le lundi 20 mars à Bruxelles, chez Horta. Bien que ses dimensions de 70 sur 100 cm soient plus modestes, cette huile sur toile est à rapprocher de la Fantasia arabe des Musées royaux des beaux-arts de Belgique.
Estimation : 25 000/35 000 €