Au cœur de l’éclectisme, des styles néogothiques ou Louis XV, Édouard Lièvre s’est fait une place de choix grâce à ses créations japonisantes d’exception. Des meubles qui restent en mémoire.
Jardinière de la maison Barbedienne (1838-1955), attribuée à Édouard Lièvre (1828-1886), piètement tripode en bronze patiné et doré imitant le bambou, guéridon signé par le fondeur Ferdinand Barbedienne, h. 138, diam. 85 cm. Estimation : 40 000/50 000 €
Jardinière de la maison Barbedienne (1838-1955), attribuée à Édouard Lièvre (1828-1886), piètement tripode en bronze patiné et doré imitant le bambou, guéridon signé par le fondeur Ferdinand Barbedienne, h. 138, diam. 85 cm. Estimation : 40 000/50 000 €
La vente après décès d’Édouard Lièvre organisée à l’Hôtel Drouot, du 21 au 24 mars 1887, vit défiler les personnalités les plus en vogue de l’époque, à l’image de Samuel Bing, de Pierre Manguin ou du banquier Simon Lazard : «On s’écrasait à la salle 8. Depuis longtemps, les amateurs de bel ameublement d’art n’ont pas eu l’occasion de voir paraître aux enchères un ensemble aussi remarquable que l’œuvre du maître regretté. Ses meubles feront époque comme ceux de ses célèbres devanciers des siècles passés».…
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