Décidément, le démon rôde au Grand Palais. La magie du lieu semble s’évanouir, dès lors que les historiens de l’art ou les artistes s’approchent de ces espaces aussi vastes qu’incommodes. Laissé sans direction scientifique, l’établissement est livré au bon vouloir des conservateurs des grands musées. Rien ne semble mieux...
Décidément, le démon rôde au Grand Palais. La magie du lieu semble s’évanouir, dès lors que les historiens de l’art ou les artistes s’approchent de ces espaces aussi vastes qu’incommodes. Laissé sans direction scientifique, l’établissement est livré au bon vouloir des conservateurs des grands musées. Rien ne semble mieux illustrer cette descente aux enfers que le paradoxe né de la célébration du centenaire de Rodin. La sculpture semble le médium le plus approprié pour donner vie à ces interminables galeries, a fortiori celle…
com.dsi.gazette.Article : 8021
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