Loin de Los Angeles, le DUO de galeristes Alex Freedman et Robbie Fitzpatrick a choisi La capitale française pour son développement. PETIT POINT avec LE SECOND sur ce choix ASSumé. Paris is back !
Q uand Robbie Fitzpatrick se lance dans une nouvelle aventure, il ne fait pas les choses à moitié. Après cinq années passées en compagnie de sa complice Alex Freedman à Los Angeles, il accompagne personnellement le développement de leur galerie sur le Vieux Continent. Exit la cité des Anges, bonjour le Marais… Comment se passe l’installation à Paris ? Paris est fantastique ! On nous avait mis en garde contre un enfer bureaucratique, mais jusqu’ici tout va bien. Entre Alex Freedman et vous, l’histoire avait initialement débuté en Europe… En effet, tout a commencé à Berlin. Je travaillais pour une galerie et Alex écrivait. Quand nous avons pris la décision de nous associer, nous avons étudié deux options : rester à Berlin ou tenter New York. Puis, petit à petit, nous avons commencé à envisager Los Angeles. La ville nous offrait plus d’espace et davantage de liberté. Et Alex est de là-bas… alors ! Pour moi, c’était l’aventure ! Finalement, nous avons été plutôt chanceux. Nous ne nous attendions pas à un développement aussi rapide du monde de l’art dans cette partie du monde. On parle beaucoup moins de Berlin ces derniers temps… Berlin…
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