Artiste reconnu par ses pairs et apprécié par de fidèles collectionneurs, Maurice Mazo (1901-1989) mena sa carrière en indépendant, loin des circuits officiels. Son œuvre fut défendue après sa mort par sa nièce et unique héritière, Janine Guelton, qui publia ses correspondances et ses écrits. Il pratiqua presque tous les genres : paysages, scènes de genre, natures mortes… La Cafetière, huile sur toile (46 x 55 cm) prisée 400/600 €, est mentionnée dans son journal en 1970. L’atelier est présenté à Drouot, salle 10, lundi 1er par la maison Crait + Müller.