Vente le
15 décembre 2017 - 14:00 (CET) -
Salle 3 - Hôtel Drouot - 75009
La maison Cartier attire dès ses débuts une clientèle aristocratique. À la pointe du progrès, elle associe des matériaux novateurs tel le platine aux diamants. Pour la femme des années 1930, elle crée des parures plus simples, comme ce bracelet.
Cartier Paris, vers 1934-1936. Bracelet manchette ouvert formé d’un bandeau en or gris laqué noir, terminé par deux clips de revers amovibles en platine pavés de diamants de tailles princesse ou brillant ancienne, huit-huit ou baguette, en serti griffe, rail ou grain, dans son écrin d’origine, l. 2,3 cm, tour de poignet 16,5 cm environ, poids brut total 51,6 g. Estimation : 20 000/30 000 €
Cartier Paris, vers 1934-1936. Bracelet manchette ouvert formé d’un bandeau en or gris laqué noir, terminé par deux clips de revers amovibles en platine pavés de diamants de tailles princesse ou brillant ancienne, huit-huit ou baguette, en serti griffe, rail ou grain, dans son écrin d’origine, l. 2,3 cm, tour de poignet 16,5 cm environ, poids brut total 51,6 g. Estimation : 20 000/30 000 €
Si les diamants sont paraît-il éternels, certains bijoux les concurrencent sur le terrain de l’intemporalité. Prenons par exemple ce bracelet, réalisé par la maison Cartier, dont la dernière apparition en vente publique date d’octobre 1938. Il figura en effet dans la dispersion des bijoux de la princesse Paule Murat, dépendant de sa succession, qui se tint pendant trois jours à Drouot. Un événement relaté par la…
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