Le 24 septembre, les saints et apôtres sculptés par Nicolas de Haguenau pour le retable d’Issenheim ont pris la route des ateliers parisiens. Ultérieurement, in situ, suivra la restauration des peintures de Mathis Gothart, appelé à tort «Grünwald» par Sandrart, l’un des pères fondateurs de l’histoire de l’art. C’est bien...
Le 24 septembre, les saints et apôtres sculptés par Nicolas de Haguenau pour le retable d’Issenheim ont pris la route des ateliers parisiens. Ultérieurement, in situ , suivra la restauration des peintures de Mathis Gothart, appelé à tort «Grünwald» par Sandrart, l’un des pères fondateurs de l’histoire de l’art. C’est bien connu, cette discipline ne revient pas facilement sur ses erreurs, si bien que l’auteur d’un chef-d’œuvre célébré par les poètes, musiciens et peintres subit, depuis trois siècles et demi maintenant l’indignité d’être désigné par un nom qui n’est pas…
com.dsi.gazette.Article : 3580
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.