Un ensemble de créations de Paul Follot permet de donner un coup de projecteur sur ce pionnier un peu oublié de l’art déco. Lumière !
La maison que Paul Follot a dessinée à sa propre intention, avec le concours de l’architecte Pierre Selmersheim, témoigne tout à la fois du succès et des aspirations de son créateur. Nous sommes en 1914 ; au 5 de la rue Schoelcher, dans le quatorzième arrondissement de Paris, s’achève une maison atelier, qui tranche délibérément par rapport à ses voisines. Avec son toit galbé et son faux pignon en chapeau de gendarme souligné par le renflement d’une bow-window surmontée d’un balcon, elle affiche un petit air « jugendstil » renforcé par des détails décoratifs, notamment les mosaïques du rez-de-chaussée, qu’un Josef Hoffmann…
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