La galerie Ceysson & Bénétière, à Saint-Étienne, a connu un développement fulgurant en une douzaine d’années. Bilan et perspectives pour les deux entreprenants trentenaires.
Créée en 2006 par trois associés – l’ancien conservateur de musée Bernard Ceysson, son fils François, ainsi que Loïc Bénétière –, la galerie s’est internationalisée dès 2008, ouvrant des antennes au Luxembourg et à New York (sur Madison Avenue) sans oublier Paris et une éphémère expérience genevoise. Alors que la galerie s’était fait connaître sous l’appellation «Bernard Ceysson», elle se nomme désormais Ceysson & Bénétière… Loïc Bénétière : En fait, nous avions tout d’abord un premier nom un peu compliqué, «IAC - Ceysson/Bénétière», mais, dès les premières expositions et foires, tout le monde nous demandait notre lien avec Bernard Ceysson, figure incontournable de la scène de l’art contemporain. Nous avons donc rapidement renommé la galerie plus simplement : «Bernard Ceysson», d’autant plus que la plupart des artistes qui nous ont rejoints avaient déjà collaboré avec lui quand il était directeur de musée. Notre implantation au Luxembourg a été également très liée à l’action de Bernard dans ce pays. L’an dernier, il a quitté l’actionnariat de la galerie, mais…
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