Pour sa quatrième édition, le SAB conforte la place de Bruxelles comme nouveau rendez-vous de l’art animalier et redore l’image de cet art souvent associé à la cynégétique.
On est bien loin ici des grand-messes où il est devenu impossible de s’arrêter devant toutes les œuvres, tant leur nombre donne le tournis. Au cœur du Sablon, la maison bourgeoise de la galerie Costermans est le cadre idéal pour découvrir les trente-deux artistes de cette nouvelle édition du SAB (Septembre Animalier Bruxelles), en un parcours intimiste au fil des cinq salles dédiées. Antiquaire depuis plus de vingt ans, Philippe Heim s’est lancé dans cette aventure il y a trois ans, alors qu’aucun événement ne privilégiait ce secteur de niche dans la capitale belge. Une aubaine, comme l’explique ce collectionneur chef d’entreprise qui préfère rester anonyme , car «un salon comme celui-là est l’occasion de saisir la dynamique et l’activité de l’art animalier. Si l’on s’attend à trouver des artistes historiques et reconnus dans des foires comme la…
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