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Biennale photographique de Senigallia : la photographie, la mer, l’insouciance

Publié le , par Zaha Redman

Sur l’Adriatique, la deuxième édition de la Biennale photographique de Senigallia creuse son sillon, avec une originalité bienvenue dans un univers parfois conventionnel.

Paul Nadar, Un Apache, rue de Lappe, Paris, vers 1902, tirage aux sels d’argent postérieur,... Biennale photographique de Senigallia : la photographie, la mer,  l’insouciance
Paul Nadar, Un Apache, rue de Lappe, Paris, vers 1902, tirage aux sels d’argent postérieur, 24 18 cm, cachet tardif de l’atelier Nadar.
© S. Plantureux
Une belle plage de l’Adriatique accolée à un centre historique très italien, une idée de photographie détachée des fracas médiatiques ou des caprices à la mode, s’il en reste, tels sont le cadre et les ingrédients de la toute jeune Biennale de photographie de Senigallia. La deuxième édition, celle de l’été  2021, ouvre du 24 au 26  juin avec les vernissages, les conférences, la foire et une vente aux enchères en ligne. La manifestation porte toujours la marque de Serge Plantureux, son directeur et concepteur  : son goût des images anciennes mais accessibles, sa préférence pour le noir et blanc, son choix d’une relation intime avec l’image, et son amour de l’Italie, où la modernité a toujours fait les comptes avec un patrimoine exceptionnel. On sent aussi chez Plantureux,…
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