Gazette Drouot logo print

Biennale de Venise : quelle pitié

Publié le , par Vincent Noce
Nuages, froid et pluie se sont succédé à Venise, la semaine de vernissage de la 57e Biennale d’art contemporain. Les mendiants étaient dans la rue tandis que les ultrariches se douchaient au champagne dans les palais, claquant des millions sur le marché parallèle de l’art. La chronique livrée par Le Figaro, d’une frénésie...
  Biennale de Venise : quelle pitié
 
Nuages, froid et pluie se sont succédé à Venise, la semaine de vernissage de la 57 e Biennale d’art contemporain. Les mendiants étaient dans la rue tandis que les ultrariches se douchaient au champagne dans les palais, claquant des millions sur le marché parallèle de l’art. La chronique livrée par Le Figaro , d’une frénésie ultramondaine, aux réminiscences des Années folles, y paraissait plus superficielle que jamais, laissant même un goût amer d’indécence, au bord d’une mer qui, depuis la dernière Biennale, a englouti…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous