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Biennale de Venise : Hirst m’a tuer

Publié le , par Alain Quemin

Sérieuse et très sage, sans prise de risque, l’édition 2017 souffre de la tenue simultanée d’une exposition spectaculaire et majeure.

Ernesto Neto (né en 1964), Um Sagrado Lugar (A Sacred Place), 2017, exposition «Viva... Biennale de Venise : Hirst m’a tuer
Ernesto Neto (né en 1964), Um Sagrado Lugar (A Sacred Place), 2017, exposition «Viva arte viva !».
© Photo Dario Lasagni/Fortes d’Aloia & Gabriel
Tous les deux ans, professionnels et amateurs d’art accourent dans la cité des Doges pour découvrir les tendances les plus récentes de la création, à partir d’un double point de vue. Celui, tout d’abord, du commissaire général en charge de la sélection internationale, présentée dans le pavillon central et dans l’immense nef de l’Arsenal : en 2017, c’est à la Française Christine Macel, conservatrice en chef au musée national d’Art moderne-Centre Pompidou, qu’est revenue cette responsabilité, qui est aussi un honneur. Celui ensuite des pavillons nationaux, répartis dans les Giardini ou  l’extension continue de la Biennale aidant  dans des espaces cloisonnés au sein de l’Arsenal et d’autres bâtiments disséminés dans la Sérénissime.   Mark Bradford (né en 1961), Tomorrow Is Another Day , pavillon américain. © Photo Joshua White. Courtesy de l’artiste et Hauser & Wirth Sagesse de la sélection internationale et omniprésence du textile Le plus marquant est sans doute la sélection internationale, en raison de son ampleur.…
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