Avec ses sculptures d’édition, la maison fait la fierté de Paris, capitale des bronzes d’art à partir de 1860. Au-delà de l’art, son histoire retrace l’évolution de la société à la fin du XIXe siècle.
Atelier de montage de la maison Barbedienne, 63 rue de Lancry (de gauche à droite : Lion au serpent de Barye, L’Éternel Printemps de Rodin, Jeanne d’Arc de Chapus et, à l’arrière-plan, Chanteur florentin de Dubois), photographie, mars 1913. Collection particulière, agence de presse Meurisse. DR.
Atelier de montage de la maison Barbedienne, 63 rue de Lancry (de gauche à droite : Lion au serpent de Barye, L’Éternel Printemps de Rodin, Jeanne d’Arc de Chapus et, à l’arrière-plan, Chanteur florentin de Dubois), photographie, mars 1913. Collection particulière, agence de presse Meurisse. DR.
Répertoriant près de deux mille sujets édités par la maison Barbedienne, évoqués par plus de mille trois cents illustrations, cet ouvrage de référence va sans nul doute occuper une place d’honneur dans les bibliothèques des amateurs d’art. Il ne se passe pas un jour, en effet, sans que le plus célèbre éditeur de bronzes d’art français, actif de 1834 à 1954, soit mis en avant par une œuvre proposée en vente publique. À ce titre, Drouot convie d’ailleurs les passionnés de sculpture à rencontrer l’auteur de cette bible pour collectionneurs, Florence Rionnet, à l’occasion d’une conférence ouvrant ses portes à 14 h 30 le vendredi 16 décembre, en salle 9. Ils pourront ainsi apprécier,…
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