Gazette Drouot logo print

Au Pays du matin calme…

Publié le , par Stéphanie Perris

Portée par de multiples expositions, la peinture coréenne bénéficie d’une belle notoriété sur le marché international. Attention, le phénomène arrive en France !

 LEGENDE STABILO quark-shadow quark-bold">194 600 € frais compris LEGENDE STABILO">Kim... Au Pays du matin calme…
194 600 € frais compris Kim Tschang-Yeul (né en 1929), Les Gouttes d’eau, 1973, huile sur toile, 200 x 162 cm.
Paris, Drouot, 16 décembre 2015. Piasa SVV.
Depuis quelques mois, la France découvre un brin émerveillée la richesse de la peinture coréenne. Plusieurs expositions organisées un peu partout dans l’Hexagone, à la faveur des événements de l’année de la Corée, ont permis d’en mesurer toute la beauté : «Tigres de papier» au musée Guimet, «Séoul - Paris - Séoul» au musée Cernuschi, «Dansaekhwa. L’aventure du monochrome» au domaine de Kerguéhennec… Ce mouvement de reconnaissance se mesure d’abord à l’échelle internationale. La peinture née au cours du XX e  siècle au Pays du matin calme bénéficie d’un réel engouement. «Les artistes coréens ont gagné une audience mondiale grâce à l’intérêt que portent, plus que jamais, les collectionneurs du monde entier, spécialement pour les monochromes du Dansaekhwa, en cours de réévaluation ; les musées et les galeries de renom ont les yeux rivés sur ce mouvement depuis 2014», confie Jackline Jiae Byun, spécialiste en art moderne et contemporain chez K-Auction. Cette maison de ventes coréenne, fondée en 2005, rivalise aujourd’hui avec son aînée Seoul Auction, se mesurant également aux géants Christie’s et Sotheby’s sur la place de Hongkong. Elle présentera, lors de la prochaine Frieze New York, une exposition intitulée «Korean Abstract…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous