L’arrivée sur le marché du géant de l’assurance Allianz montre que le monde de l’art s’ouvre peu à peu à la question. Seul bémol, les professionnels du marché de l’art sont exclus de l’offre. Explications.
Nouveau coup de boutoir. Le monde de l’art commencerait-il à baisser la garde face aux assurances, à qui il tourne historiquement le dos ? C’est en tout cas le pari d’Allianz, qui développe une nouvelle branche d’activité dédiée à ce secteur spécifique. Jusque-là présent sur la couverture en responsabilité civile des professionnels de l’art, en particulier des maisons de ventes, le preneur de risques généraliste se lance sur la partie dommage matériel accidentel des œuvres d’art, un marché déjà très concurrentiel aux acteurs nombreux (Axa-Art, Hiscox, Albingia…) et aux taux à la baisse. À titre d’exemple, alors que le ratio 1/1000 est souvent médiatisé (c’est-à-dire un calcul de la prime à partir de la valeur de l’œuvre assurée correspondant à 1€ de prime par tranche de 1 000 €), sur une récente consultation entre Hiscox et Lloyd’s,…
com.dsi.gazette.Article : 3824
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