La foire historique du Moyen-Orient, dont c’est déjà la onzième année, fermait ses portes le 24 mars. Retour sur les petits échecs et les jolis succès d’un événement en reconstruction.
Art Dubai célébrait l’an passé sa première décennie avec un bilan mitigé, qui laissait peu de place à l’enthousiasme pour l’édition 2018. Mais force est de constater que l’organisation, emmenée pour la seconde fois par Myrna Ayad (directrice générale) et Pablo del Val (directeur artistique), a su relever les défis qui se présentaient à elle. Même si tout n’a pas été parfait, la plupart des 105 galeries exposantes se montrent satisfaites de cette 11 e édition en forme de renouveau annonçant, peut-être, de jolis sommets à venir. Un foisonnement d’activités s’offrait aux visiteurs, entre le forum de qualité internationale, The Room le programme de performance emmené par le collectif GCC, les dix ans de l’Abraaj Group Art Prize avec l’annonce d’un prêt à long terme au Jameel Arts Centre et la première édition du Ithra Art Prize. Mais l’attraction était la section Residents : elle présentait le fruit…
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