Vente le
15 novembre 2016 - 14:15 (CET) -
13, rue Traverse - 29212 Brest
Une théière façonnée par un orfèvre d’Arras, nous rappelle cette noble époque où prendre son thé dans de la belle argenterie constituait le comble du luxe et du raffinement.
Arras, 1742-1743. Théière en argent à manche en ivoire, aux armoiries de la famille Fleurton de Beaumay, par l’orfèvre Pierre-François Joncqué, reçu maître en 1722, h. 19 cm. Estimation : 45 000/60 000 €
Arras, 1742-1743. Théière en argent à manche en ivoire, aux armoiries de la famille Fleurton de Beaumay, par l’orfèvre Pierre-François Joncqué, reçu maître en 1722, h. 19 cm. Estimation : 45 000/60 000 €
Arras connaît une période de renouveau et de richesse au XVIII e siècle. Après avoir été admirée pour son industrie du textile et ses ateliers de lissiers durant le Moyen Âge, la ville subit durement les conséquences de la guerre et la domination des Pays-Bas espagnols. Revenue dans l’escarcelle française en 1659, suite au traité des Pyrénées, elle reprend peu à peu une activité économique, tournée désormais vers l’industrie et la porcelaine, mais aussi l’orfèvrerie. En ce domaine, la capitale du Pas-de-Calais rivalise…
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