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Antoine Barrère, ambassadeur des arts asiatiques

Publié le , par Alexandre Crochet

Pour la première fois, galeries, musées et maisons de ventes unissent leurs forces en juin autour du nouveau Printemps asiatique Paris pour séduire les amoureux de l’Extrême-Orient. Entretien avec l’un des principaux artisans de la manifestation.

Antoine Barrère Antoine Barrère, ambassadeur des arts asiatiques
Antoine Barrère
Dans quelques jours, l’Extrême-Orient déferlera sur la capitale, qui lance une semaine consacrée aux arts asiatiques. Baptisée Printemps asiatique Paris, elle se tiendra du 7 au 17 juin, et réunira vingt galeries, dont Jacques Barrère, Christian Deydier, Alexis Renard, Mingei, Tanakaya, les Ateliers Brugier, Bertrand de Lavergne, la Compagnie de la Chine et des Indes ou encore Christophe Hioco, des maisons de ventes anglo-saxonnes ou françaises, l’Hôtel Drouot, ainsi que les musées Guimet et Cernuschi. Entretien avec le marchand Antoine Barrère, l’une des principales chevilles ouvrières du projet. Qu’est-ce qui vous a encouragé à lancer cette année le Printemps asiatique Paris ? C’est une idée qui était dans les tiroirs depuis longtemps. Il y a une vingtaine d’années, l’Automne asiatique, lancé par Christian Deydier, avait donné des résultats très positifs, mais cet événement n’a pas duré. Depuis, il manquait une manifestation dédiée aux antiquités d’Extrême-Orient, alors que Paris est l’une des trois villes occidentales de référence pour ce type de négoce, avec New York et Londres. Justement, cette manifestation peut-elle se comparer aux asian weeks de Londres et de New York ? Nous nous sommes basés sur les modèles…
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