Vente le
29 novembre 2018 - 14:00 (CET) -
Salle 7 - Hôtel Drouot - 75009
Les grands joailliers français ont su à l’époque art déco jouer de toutes les possibilités que leur offraient les pierres dures ainsi que le corail , pour créer de petites merveilles de préciosité, qui près d’un siècle plus tard suscitent toujours autant d’envie. Seulement «attribuée» à la maison Cartier, cette élégante...
Les grands joailliers français ont su à l’époque art déco jouer de toutes les possibilités que leur offraient les pierres dures ainsi que le corail , pour créer de petites merveilles de préciosité, qui près d’un siècle plus tard suscitent toujours autant d’envie. Seulement «attribuée» à la maison Cartier, cette élégante paire de pendants d’oreilles en or réalisée vers 1922, composée d’une chenille décorée de jade, de perles fines, d’onyx, de corail, de motifs laqués et sublimée de l’éclat de diamants brillantés, se rapprochait de la rue de la Paix en suspendant 142 912 €. Ce bijou ne passait pas inaperçu jeudi 29 novembre à Drouot, au milieu d’un programme important récompensé, en incluant la vacation de vendredi, de plus de 1,66 M€ composé par la maison Thierry de Maigret (Vendôme Expertise).
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