On fouille, on piste, on traque, un peu comme lorsque Philippe Favier lui-même chine aux Puces (voir Gazette du 10 janvier 2019), sa source d’approvisionnement en objets qu’il détourne et met en scène dans ses boîtes. Aujourd’hui, l’artiste a suivi un plan d’occupation ambitieux du musée de Valence et, tel un coucou (le...
On fouille, on piste, on traque, un peu comme lorsque Philippe Favier lui-même chine aux Puces (voir Gazette du 10 janvier 2019), sa source d’approvisionnement en objets qu’il détourne et met en scène dans ses boîtes. Aujourd’hui, l’artiste a suivi un plan d’occupation ambitieux du musée de Valence et, tel un coucou (le…
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