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Adriano Picinati di Torcello : de l’art à la finance

Publié le , par Pierre Naquin

À la veille de la sortie de l’édition 2017 de son rapport, Adriano Picinati di Torcello revient pour nous sur la genèse de la section Art & Finance chez Deloitte Luxembourg et sur sa vision du marché de l’art.

  Adriano Picinati di Torcello : de l’art à la finance
 
Adriano Picinati di Torcello est l’homme qui avec le soutien et la bienveillance de l’un de ses pairs, Thierry Hoeltgen a réconcilié l’art et la finance. Cela ne s’est pas fait en un jour, cela n’a pas été facile, mais si aujourd’hui très peu de collectionneurs ignorent encore l’aspect patrimonial de leurs acquisitions, c’est grâce à lui et à son travail d’évangélisation sans relâche sur la dernière décennie. Comment tout cela a-t-il commencé ? En parallèle de mon travail, en 2006, j’ai réalisé une thèse dont le sujet était l’art et la finance comme piste pour développer l’économie luxembourgeoise. Quand je suis rentré à Deloitte, j’ai rapidement rencontré Thierry Hoeltgen, qui avait un poste important dans l’organisation et était proche des réflexions développées dans ma thèse. Nous avons élaboré ensemble la première conférence Art & Finance en septembre 2008… dans une ambiance de fin du monde ! Comme toute idée nouvelle, il a aussi fallu la défendre en interne. Rien de similaire n’existait à cette époque ; il est certain que la position de Thierry, responsable de toute l’activité conseil, a beaucoup aidé. Dès ce premier événement, nous avions déjà émis l’idée…
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