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À Miami, rien n’atteint ABMB

Publié le , par La Gazette Drouot

Sur Art Basel Miami Beach, les transactions au sein des stands ont été particulièrement actives. Ces quelques jours de début décembre montrent encore une fois que les Américains restent les plus investis dans le marché de l’art contemporain.

Stand Document sur Art Basel Miami Beach 2019. © Art Basel À Miami, rien n’atteint ABMB
Stand Document sur Art Basel Miami Beach 2019.
© Art Basel
Sur Art Basel Miami Beach (ABMB), même les bananes partent comme des petits pains. Si Comedian , de Maurizio Cattelan, a créé le buzz en étant vendue plusieurs fois au prix de 120  000  $, nombre de galeries se félicitent d’avoir tout écoulé. «Nous avons vendu le contenu entier de notre stand très tôt, notamment plusieurs œuvres d’Ebony G. Patterson à 65  000  $ chacune, et de David Antonio Cruz, dont le travail était intégré au spectacle de Mickalene Thomas au Bass Museum», se réjouit Monique Meloche, de la galerie du même nom, à Chicago. «Nous n’avons jamais connu un succès comparable à cette année sur Art Basel Miami Beach. Nous avons vendu 48  œuvres au cours des seuls trois premiers jours, dont trois sculptures en bronze à grande échelle de Woody De Othello pour 175  000  $ pièce», continue Jessica Silverman, dont la galerie est basée à San Francisco. Un des joyaux de la semaine était sûrement la peinture de Carmen Herrera Quartet (1961), cédée pour 2,5  M$ à une collection privée de la côte Ouest. «Cette œuvre composée de quatre toiles avec un cadre fait main par l’artiste a peu d’équivalents, le plus…
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