Ce spécialiste de l’art déco, installé Rive gauche depuis 2001, revient à la Biennale avec un bronze inédit signé d’un grand sculpteur du XXe siècle…
Ce qui a déclenché votre vocation ?
À l’âge de 21 ans, l’odeur d’un grenier rempli de vieux livres.
Mais si tout était à refaire, vous seriez…
Je choisirais le même parcours ; toutefois j’éviterais certaines erreurs de jeunesse.
Votre dernier coup de cœur ?
Un Homme qui marche d’Alberto Giacometti.
L’artiste ou l’objet d’art que vous aimeriez présenter ?
Il y a trop d’œuvres fabuleuses pour n’en choisir qu’une, mais peut-être serait-ce quand même un Botticelli.
La phrase professionnelle que vous répétez souvent ?
Merci de votre confiance.
Vos projets ou prochains temps forts ?
J’expose à la Biennale (jusqu’au 5 décembre, ndlr) mon dernier coup de cœur : un Homme qui marche, créé par Alberto en 1946.