Ce chineur passionné vient d’inaugurer sa galerie-atelier de restauration dans la plaine de la Beauce. Son dada : les « maisons-objets » ou « sculptures habitables » des années 1960-1970, auxquelles il donne une nouvelle vie.
Ce qui a déclenché votre vocation ? Une insatiable curiosité pour les esprits visionnaires, une passion pour la philosophie du « cocon » dans l’architecture et le nomadisme. En 2014, j’ai pu retrouver l’un de ces…
com.dsi.gazette.Article : 36573
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