La jeune galeriste s’est installée il y a six ans dans la petite commune de Sauve, dans le Gard, où elle défend avec ferveur le dessin contemporain. Une affaire gérée avec son mari Arnaud Delmas et pensée avant tout comme un lieu de rencontre.
Ce qui a déclenché votre vocation ? Fille d’antiquaire, j’ai eu la chance depuis toute petite d’être en lien direct avec les objets d’art et la peinture. À 16 ans, j’achetais mes premières sanguines… Puis lorsque j’en ai eu 17, j’ai découvert…
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