Vente le
15 juin 2019 - 10:00 (CEST) -
9-11, rue Royale - 77300 Fontainebleau
Les grandes maisons d’horlogerie aligneront les classiques, comme les montres rares et les pièces atypiques.
Patek Philippe and Co, Genève, montre-bracelet en acier, réf. 1544, vers 1953, cadran argenté, chiffres arabes en acier et index peints en noir, aiguilles feuille en acier, petite trotteuse à 6 heures, mouvement mécanique à remontage manuel cal. 9-90, numérotée, bracelet en crocodile, 3 x 2,1 cm. Estimation : 17 000/20 000 €
Patek Philippe and Co, Genève, montre-bracelet en acier, réf. 1544, vers 1953, cadran argenté, chiffres arabes en acier et index peints en noir, aiguilles feuille en acier, petite trotteuse à 6 heures, mouvement mécanique à remontage manuel cal. 9-90, numérotée, bracelet en crocodile, 3 x 2,1 cm. Estimation : 17 000/20 000 €
Parmi les incontournables, deux cosmographes Daytona de Rolex tiendront le haut du pavé aux côtés d’un chronographe quantième lunaire de Jaeger-LeCoultre. Ce modèle «master duomètre», intéressant pour la complexité de son mouvement et remarquable pour son état, est lui aussi un grand classique (20 000/25 000 €). Avec les créneaux de son boîtier, d’une grande modernité pour le début des années 1950, la Patek Philippe reproduite est plus originale, et peu courante en ventes publiques. En état d’usage, elle présente une belle patine. Plus ancien encore, puisque datant des années 1945, un chronographe 321 de la maison Omega a été réalisé dans un matériau rare en cette période de pénurie : l’or. L’esthétique de son cadran n’a rien à envier aux canons contemporains, et son calibre est très proche de ceux d’aujourd’hui (2 500/2 800 €). À la même époque, Universal Genève sortait Compax, un chronographe militaire en acier à large ouverture. Peu fréquent, ce modèle arbore un cadran sur lequel le temps n’a pas eu de prise (1 500/1 800 €). La maison horlogère a produit une autre rareté, que les collectionneurs remarqueront pour sa ligne inhabituelle créée vers 1960 : arborant une large lunette striée en or rose sur son boîtier rond, cette montre est bien nommée «Disco volante», ou «UFO» (2 000/3 000 €).
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