Wolfgang Paalen (1905-1959)

La fumée se mêle aux couleurs dans cette abstraction tellurique ouvrant les portes d’un autre monde.

Les lignes de Buffet et les formes sculpturales de Souverbie remportent les meilleurs résultats.

Le premier état d’un important texte de Magritte s’expliquant sur le surréalisme et sa peinture apparaissait entre les lignes de Drouot.

Ce trois ducats commémorant la paix de Presbourg fait partie des dernières pièces frappées par Nuremberg, « ville empire » sur laquelle Napoléon s’est appuyé à l’heure de faire imploser le Saint-Empire germanique.

Après le Belge Francis Alÿs, c'est au tour de l'artiste canado-égyptienne de 77 ans d'être distinguée du prestigieux titre, remis par le musée Ludwig de Cologne, et de remporter les 100 000 € de dotation. Anna Boghiguian avait fait son apparition sur les cimaises françaises en 2016, au Carré d'art de Nîmes.  

Pour ce 5e opus, consacré à la musique, des collections Aristophil, c’est un certain Wolfgang Amadeus qui pourrait mener tout le monde à la baguette.

L’artiste interdisciplinaire belge a remporté les 100 000 € du prix remis par le musée Ludwig (Cologne), l’un des plus importants du monde de l'art. Installé à Mexico depuis 1986, il représente son pays natal à l'actuelle Biennale de Venise. Le musée a aussi acquis une de ses œuvres, et lui consacrera une exposition.

Fils d'une famille d'industriels originaire de Cologne, le marchand d'art allemand avait fait don en juin dernier de sa collection d’art nouveau et de peinture symboliste – l'une des plus importantes d'Europe en qualité – à l'État. Estimée 42 M€, elle est désormais visible au musée de Wiesbaden. 

« Les beaux jours » auraient pu être le titre de cette vente associant collections, tableaux modernes et pièces d’arts déco aux arts premiers.

Livres à planches et ouvrages art nouveau se partageaient la bibliothèque d’un amateur.