Manuel Alvarez Bravo (1902-2002)

«Heliotropo 37», c’est l’adresse de Graciela Iturbide à Mexico, là qu’elle vit et où elle a installé son studio, conçu par son fils l’architecte Mauricio Rocha en 2016. C’est dire si cette rétrospective rassemblant plus de deux cents images des années 1970...

Connue des amateurs, cette encre sur soie d’époque Kangxi est issue du Niao Pu («Manuel des oiseaux»). Quand l’étude des animaux s’associe au geste artistique…

André Breton a toujours mis la photographie sur un pied d’égalité avec les autres formes d’expression artistique. Le total de 5 324 530 € frais compris obtenu par les photographies de sa collection suffit à convaincre d’éventuels réfractaires à cette...

Le fondateur et directeur des Éditions du Regard, qui fêtent cette année leurs 40 ans, prend le prétexte d’un livre sur François Pinault pour livrer ses vues, sans concession, sur le monde de l’art.

Les enchères mettaient le cap vers le Grand Nord pour raconter par le hublot un bout de l’histoire de l’aviation.

Le conseil d’administration du Centquatre a salué l’implication de José Manuel Gonçalves, le reconduisant le 10 mars à la tête de l’établissement public parisien pour un mandat de 3 ans. Il occupait ce poste depuis 2010. Une grève condamnant un surrégime et les bas salaires avait ébranlé la structure en début d'année.

S’il a fait ses premières armes en tant que céramiste dans les années 1950, il a rapidement transposé son vocabulaire abstrait et coloré sur la toile. Et continue de créer, à 95 ans.

À la veille de l’ouverture de la seizième édition de LOOP, la foire dédiée à l’art vidéo, son fondateur Emilio Álvarez fait le point pour nous sur un médium qui, dans ses paradoxes mêmes, est le reflet de nos sociétés contemporaines.

José-Manuel Gonçalvès est privé de ses fonctions par la Ville de Paris le temps de l'enquête administrative, la direction de l'établissement public étant confiée temporairement à son adjointe, Clémentine Aubry. L'ex-directeur de la Ferme du Buisson est à la tête du Centquatre depuis 2010.

Lors de la vente consacrée aux bijoux et montres du vendredi 5 avril chez Marc Labarbe OVV à Toulouse, une charmante bague marguerite du XIXe siècle était arborée pour  11 684 € (Mme Ledué-Crégut). En or, elle porte un saphir de Ceylan de taille coussin...