Jean-Michel Frank (1895-1941)

À mi-chemin entre le purisme janséniste du Corbusier et la préciosité de Ruhlmann, cet ensemblier a élaboré un style aux volumes simples et aux formes harmonieuses.

Lors de la très sélective session baptisée «Morceaux choisis», trônait un exemplaire du lampadaire de Giacometti, doté d’un beau pedigree, mais aussi une toile emblématique de Blanche Hoschedé-Monet.

Cette suspension en forme de coquillage dévoile une autre facette du style du décorateur.

Au cœur d’une chaumière de la région, garnie de mobilier normand, se nichaient des petits trésors de l’époque art déco.

Égalité d’estimations autant que de résultats pour deux tables basses de Jean-Michel Frank, habillées de galuchat.

Parmi les bonnes surprises de ces trois jours de ventes à l’Abbaye-aux-Dames, des pièces exceptionnelles d’art déco dues à Rose Adler, comme à l’un de ses meilleurs représentants : Jean-Michel Frank.

Une «calebasse» en bois et plâtre doré rappelait le talent de l’artiste suisse pour la conception d’objets utilitaires et son amitié avec Jean-Michel Frank.

Ce couple mondain américano-britannique a côtoyé tout ce que la période de l’entre-deux-guerres comportait d’artistes et d’esprits créatifs. Cette dispersion offre un aperçu de leur villa, en Tunisie, projet d'une vie dédiée à leur passion.

Jean-Michel Frank, Adolphe Chanaux et Clément-Serveau étaient conviés à réaliser un élégant aménagement. La marque d’un style.

Sa silhouette simplissime a su séduire les amateurs. Une lampe grand modèle dite "Calebasse", en bois et plâtre patiné doré, proposée ce 24 juin par Gros & Delettrez, a reçu les honneurs à Drouot, triplant presque son estimation haute.