Giuseppe De Nittis (1846-1884)

Offerte par l’artiste à la famille de son actuel propriétaire, cette petite huile sur bois de Giuseppe De Nittis rappelle son art délicat, marqué par l’impressionnisme et le japonisme.

Honoré en ce moment même de sa première exposition américaine, le peintre impressionniste italien, dont la carrière fut construite en grande partie à Paris, n’oublia jamais les paysages de ses Pouilles natales.

Un petit paysage de l'artiste apulien ayant participé à la première exposition des impressionnistes fera frémir les enchères à Doullens.

On attendait les caprices romains de Panini et l’on découvrait les vedute d’un suiveur de Belloto à Florence, tout aussi charmantes.

Une flânerie dans les jardins de la Malmaison était proposée par le peintre de la rose, tandis qu’une riche nature morte célébrait les fruits à la façon baroque.

L’artiste (1825-1898) a surtout travaillé dans le nord de l’Italie, collaborant à différents chantiers de décoration d’églises. Côté profane, Ghedina peint des portraits de tradition romantique, où se mêlent des réminiscences raphaélesques, telle La Leçon...

Delle magnificenze di Roma antica e moderna a été publié entre 1747 et 1761 à Rome et présente en 234 planches hors textes.

Giuseppe Penone, vient de faire don de 350 dessins au Centre Pompidou et 310 au Philadelphia Museum of Art. Une double donation qui marque l'attachement privilégié de l'artiste italien à ces deux institutions. Une relation qui, concernant, Beaubourg, a démarré dès la naissance du musée dans les années 1970.

Un dessin de Giuseppe Cades illustre ce renouveau que l’école romaine de la seconde moitié du XVIIIe siècle recherchait.

Ces clichés réalisés en 1934 ont révolutionné la perception du Saint-Suaire de Turin, drap de lin sur lequel serait imprimé le visage du Christ, et l’ont installé comme une véritable icône cultuelle populaire.