Domenico Fetti (1589-1623)

Les œuvres de l’Italien Domenico Gnoli sont rares en salles des ventes, l’artiste pop et hyperréaliste n’ayant peint qu’entre 1964 et 1970. 

La guerre des boutons n’a pas eu lieu chez Millon. La peinture de Domenico Gnoli, après avoir affolé les compteurs, obtenait un deuxième prix mondial.

De Tiepolo à Isabey, et de la Renaissance à la Révolution, c’est l’histoire de France qui se dévoile.

Beaucoup de peintures anciennes pour une session empreinte de la simplicité et de la rigueur du XVIIe siècle italien et français, toutefois égayée par le paysage d’un Flamand.

La décision des propriétaires de vendre les sept toiles en grisaille peintes par Domenico Tiepolo (1727-1804) pour le décor du palais Valmarana ai Nani, confiées depuis 2017 au musée Palladio de Vicence, mettait leur visibilité en question, jusqu’à leur préemption par l’État italien le 7 juillet.

Estimée 1/1,5 M€, l’acrylique et sable sur toile Unbuttoned button, 1969, de Domenico Gnoli s’est envolé à 8 M€, soit le deuxième prix pour l'artiste aux enchères. L’œuvre fait partie d’une série exposée à New York en 1969. Ce record s’établit alors que la Fondazione Prada de Milan lui consacre une rétrospective.

L’artiste italien spécialiste des vues rapprochées, livre avec ce canapé bleu, une vision adoucie de l’hyperréalisme. Qui cèdera à l’envie de s’y allonger ?

On connaît Wim Delvoye pour ses œuvres qui bousculent les esprits, mais on le connaît moins comme collectionneur. Drouot est son terrain de chasse où il constitue une collection protéiforme qui nourrit sa création.

Exécutée dans l’entourage de Domenico Corvi, cette allégorie des arts libéraux est l’œuvre d’un artiste de l’école romaine vers 1760. 

Mattia Preti s’est distingué lors de cette vente fleuve, où son Reniement de Pierre, datant de la fin de la période romaine, a doublé son estimation.