«Je suis brutal, naïf et gothique», confesse d’emblée Georg Baselitz, né Hans-Georg Kern en 1938 dans le village de Deutschbaselitz – près de Dresde –, dont il a pris le nom dès 1961 : trois adjectifs qui ne pourraient mieux qualifier son grand œuvre peint, sculpté, gravé, traversé ici en onze séquences, toutes puissantes....
«Je suis brutal, naïf et gothique», confesse d’emblée Georg Baselitz, né Hans-Georg Kern en 1938 dans le village de Deutschbaselitz – près de Dresde –, dont il a pris le nom dès 1961 : trois adjectifs qui ne pourraient mieux qualifier son grand œuvre peint, sculpté, gravé, traversé ici en onze séquences,…
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.